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« La droite ne sait pas ce qu’elle veut  »
vendredi 14 novembre 2008
par B.TRANCHANT
L’union nationale des Ă©lus… contre le gouvernement est-elle en train de se mettre en place ? De fait, tous les Ă©lus, de gauche comme de droite, s’inquiètent des atteintes gouvernementales contre les finances locales. C’est aujourd’hui Ă une fronde « Ĺ“cumĂ©nique  » Ă laquelle le gouvernement doit faire face. L’analyse de Jean-Pierre-Bel, prĂ©sident du groupe socialiste au SĂ©nat. > suite
Des Ă©lus en ordre de bataille
vendredi 14 novembre 2008
par B.TRANCHANT
Face aux désengagements successifs de l’État et aux transferts de charges injustifiés, les élus s’organisent de toutes parts. Et pointent l’assèchement des crédits marqué par une baisse injustifiée des dotations. > suite
Le SDRIF, entre modernité et solidarité
vendredi 14 novembre 2008
par B.TRANCHANT
Le Conseil régional d’Île-de-France a adopté, fin septembre, le projet de Schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF). Avec l’ambition de déterminer, pour les dix ou douze prochaines années, le cadre d’un développement urbain harmonieux. > suite
Jaurès et la République socialiste
D’après une communication de Madeleine Rébérioux dans le cadre de la Commission Histoire du Parti, 1996.
jeudi 13 novembre 2008
par B.TRANCHANT
Sous l’influence de Jean Jaurès, la SFIO pense que l’Ă©mancipation doit s’appliquer Ă l’ensemble de la sociĂ©tĂ© et pas seulement au monde ouvrier. Elle dĂ©fend donc le principe du suffrage universel, en posant d’emblĂ©e la question de l’organisation. Un entretien avec Jean-Marcel Bichat, DĂ©lĂ©guĂ© national Ă l’Histoire, auprès du Premier secrĂ©taire. > suite
D’un krach boursier à l’autre
jeudi 13 novembre 2008
par B.TRANCHANT
La crise qui Ă©clate Ă Wall Street, le 24 octobre 1929, se traduit par une chute spectaculaire du cours des actions. Elle sera suivie d’une rĂ©cession conduisant Ă une « grande dĂ©pression  » qui s’étendra sur près d’une dĂ©cennie. Un demi-siècle plus tard, le krach d’octobre 1987, ou « lundi noir  », en rĂ©fĂ©rence au « jeudi noir  » de 1929, se solde par une remontĂ©e spectaculaire des taux d’intĂ©rĂŞt. > suite
Crises financières : les leçons de l’histoire
jeudi 13 novembre 2008
par B.TRANCHANT
l’heure ou les effets de la crise financière internationale se font ressentir partout dans le monde, chacun s’interroge sur les mutations du capitalisme et les grandes crises Ă©conomiques propres Ă l’Ă©poque contemporaine. Entretien avec Pierre Singaravelou, enseignant en Histoire contemporaine Ă l’UniversitĂ© de Bordeaux. > suite
Le long combat du socialisme pour l’émancipation individuelle
jeudi 13 novembre 2008
par B.TRANCHANT
Dans l’idĂ©al socialiste, l’individu ne peut s’entendre comme un atome isolĂ©, mais comme un « ĂŞtre avec  », un individu social tournĂ© vers la solidaritĂ©. De la DĂ©claration des droits de l’homme Ă Jaurès, qui dĂ©finissait le socialisme comme « un individualisme total et complet  », tout se rapporte Ă l’être humain qui est la valeur de toute chose, de la patrie, de la famille, de la propriĂ©tĂ©, de l’humanitĂ©.
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Les congés payés, passeport pour l’évasion
jeudi 13 novembre 2008
par B.TRANCHANT
Jean-Marcel Bichat, délégué national à l’Histoire, auprès du Premier secrétaire, évoque l’avancée spectaculaire constituée par les congés payés, en dépit des nombreuses résistances du patronat. Institués, en 1936, par le Front populaire, ils ont permis à plusieurs milliers d’employés de partir à la découverte du pays.
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Keynes ou l’économie à visage humain
jeudi 13 novembre 2008
par B.TRANCHANT
Nul plus que John Maynard Keynes (1883-1946) n’a autant influencĂ© la science Ă©conomique. Au lendemain de la crise boursière de 1929, le libre jeu du marchĂ© prĂ©conisĂ© par les « classiques  », n’assurait plus l’Ă©quilibre et le plein emploi. Ă€ contre-courant de la pensĂ©e dominante, ce brillant mathĂ©maticien dĂ©montra que le revenu national est Ă©troitement liĂ© au volume de l’emploi.
Les socialistes sauront s’en souvenir… > suite
Les socialistes sauront s’en souvenir… > suite
Blum, ou l’éternel retour
jeudi 13 novembre 2008
par B.TRANCHANT
Au lendemain de la guerre, Léon Blum se lance à corps perdu dans un travail de réflexion, avant d’hériter, à la fin de l’année 1946, de la présidence du gouvernement provisoire et de se retirer serein et apaisé. L’analyse de Jean-Marcel Bichat, délégué national en charge de l’Histoire, auprès du Premier secrétaire.
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